Û est le morosophe superbe



















Le corps puant du morosophe est tendrement maculé de longues traînées de sang; à son pied blessé par la pointe acérée du cassé verre d’alcoolique, s’écoulent encore de longues et fascinantes flaques grenatiques…

Son anus obscur, mal torché, le démange fortement, l’obligeant depuis plusieurs minutes à y fourrer ses doigts gratteux.

Signe, chez lui et elle et eux, d’une grande excitation sexuelleuse, ses tétons si sensibles sont remplis d’énergie vicieuse et constamment pointent sous le tissu (tu sais, tu sais, c’est le thélotisme), avides de pincements maladifs, hurlant leur féminité (tu ne cesses de les caresser ?).

Aujourd’hui, oui, oui les tentacules du morosophe sont délicatement bleutées, ha, ha, ha… et se meuvent en tous sens comme en danse érotiqueuse.

Regarde ta bite, elle serpente lourdement, lascivement, longuement, autour de l’arbre, affamée et brutale, rieuse de désir pervers, ses écailles tressautent.

Sur vos chairs, voudras-tu foudroyance flagelative de souple ronce noire ?














































« qu’importe si, pris de vin, tu laisse choir ta tête dans l’égout » trakl