Il était une fois, un arbre-de-sexe, un sexuyer donc, dont les fruits étaient des êtres vivants. Son nom pouvait être également, cela dépendait des contrées de sa situation, arbre poly-copulaire ou encore, totem porno-ligneux… Qui le regarde, puisque son pouvoir de fascination n’a d’égal, qui le sent, car sa puissance olfactive est incommensurable, se trouve aussitôt et sans tarder, proprement hypnotisationné ! Il provoque alors une augmentation intense de l’énergie phantasmoïde, électrisant corps et nerfs et sens et imaginaire ! Oui, oui, oui…
Ses fruits, sur l’exemplaire de notre connaissance, sont les suivants :
La bite biteuse fièreuse bandeuse ithyphaliqueuse hargneuse puissanteuse voluptueuse, projettise son foutre avec une pression de 11 bars à une hauteur de 15 mètres. Gniarf, elle est pure et grosse volonté de pénétration !
La vulve à la chair blanchâtreuse et douceureuse, d’écarlate embellée, nommée également et aussi, vulvosse, estions un insecte vulvaire et vulvique, se nourrissant de phrallus, puissamment toxique, dont le coït entraîne la mort par dessèchement. Elle est à la fois magnifiquement odorante et appétissante en même temps que puante et dégueulasse.
La pieuvreuse, bonheur et malédiction, enserre son prétendant de ses mortelles tentacules. Elle aime et adore les faire pénétrer dans ta bouche, ton anus vibrant, ton vagin criant, tandis qu’elle te déchire les tétons, ha, ha, ça te rend folle d’excitation (salope).
L’androgyne, est-ce moi ? est-ce toi ? baiseras-tu ? seras-tu baisé ? seras-tu baisée ? suce et encule, jouissance absolue ultime magnifique foutreuse et foutrale…
Le couple, comme monade double close sur elle-même, exsangue et plein de mollesse, capable d’une bouillavance de 72 heures de suite !
La salope, au cul rouge carmin offert, diffuse une senteur vaginale étourdissanteuse, pouvant être sentie à vingt kilomètres aux alentours… Elle aime se cambrer en attente d’être remplie, défoncée, mais peut-être n’est-elle que fantasme de toi, spéculaire présence, alors infiniment dérangeante ?
contemplation de l’arbre copulaire
alors, si proche est donc un autre monde….







































du sexuyer, la danse