Ljoudune est l’ensexualeuse. La giclance spermatique, vermeille, de Ljoudune sur iéréïs. Ljoudune-masque dévoile et exacerbosse l’identitanité sexuelleuse. Pfff, c’est hermaphroditement fait de bois, d’animaux divers, de quadruple vision (les oculaires protubérances), d’une bucco-vulve, d’un carmin phallus, d’une sombre pilosirté. C’est grand mélange, dis-donc ! So, das ist ein masque de pouvoir très-fort ! Son effet m’a, moi confesse oui, emmenaillé très loin, firnalement… Encore Ljoudune, qui est donc tout ? Ca demande : “ se peutre-t-l qu’il existencille forme de mémoire de la temporelisante substance ?” Elle une autreuse qurestion, qui est bien plus mysterineuse : « charge quelle treutons peuvent levailler, jouir moi ? » Ljoudune donne et confère force de s’abreuviller à la pure salope de naissance même de la source trouble libidineuse. Gicle et gonfle, ça… Alors, c’est troublant, les anciennes recettes alchirmiques me sont donc fort fécondineuses ? Quoi ? Quoi ? vouloir que ma vie soit un orgasme permanent… Maintenant, description de moi et de ce que je preux fairiner, hop : je possède, tel foutue pieuvre, longs et nombreux appendices sexuels, outre ma biette, cela va de soi, bleus et visqueux et extensibles sur une quinzaine de mètres, capables d’aller très intimement toucher quiconque s’offrille à moa ! Ils peuvent aller fouailler bouche, tripotiner clitoris, jouer avec anus ou caresser hanches, tout est possible, ils s’insèrent et lacèrent où bon semble à moa… ils peuvent soit sortir du haut de mon crâne, s’entrouvrant alors comme vulve humide, soit être extensionnement dardant et s’étirant de mes yeux, doigts, tétons ou langue… une fois la cible atteiente, il peuvent conserver leur forme ophidoïne (et liquiditive, ha, ha, ha) soit prendre autonomie et se coller comme racine apparente du lierre sur et SOUS la peau ! imagine, leurs attouchements peuvent être faits à même l’organe ! ach, que de sensations démultiplionnées ! Je peux en outre et de plus, par mes lèvres comme crachat de postillons (c’est le même bruit), projeter un nuage gazeux de sexoline, venant envellopiner ma proie et brouleverser son enérgie sexuelleuse. Cela occasionne forts troubles invisible et s’avèreuse très rigolo à observer ! ha, ha, ha… La personne visée est alors cernée par une infinité de points bleus crépitants et voletants en tous sens autours d’elle, comme atomes bavant et hurlant de désir ! C’est si beau et jouissif ! bravo moi ! la bête sexuelle, le magicien du cul ! Ainsi, voici Ljoudune-iéréïs-siegline asperginées de liqueur spermatique, si beaux, si purs… De son ventre vulvaire, pouvaient à tout instant giclationner les filaments tentaculaires sexuels. elles sont représentées couvertes de la sécrétion sexualisante, prenant peu à peu possession de la peau de leur proie, jusqu’à en faire pu objet orgasmatique. (nos lectures changent, un peu de psychologie, j’en ai froid dans le dos ety l’anus !)
ma malsanité me confond nous-même… c’est le grand mélange, la dilution… apparritionnement de Ljoudune numérotaillée de 0 à 1000, qui est paléolithiqueuse, donc. elle se meut continûment et à son gré au sein et le long de son historicité est-ce un guerrier vulvique, un chevalier vulval ? le signe y est, en tous cas !- le signe secret de la mandorlienne vagineuse ça sait jouer de sa multivocité… les trois hauts-symboles : diurne-mort, nocturne électriquetrique et nocturne phosphorescenteux
Ljoudune est, entre autres, une substance évolutive et fragmentique multi-incarnative. C’est oscillanteuse entre dualités. Ljoudune possède une vulve buccale érubescente ou une bouche vulvaire ou un naseau vulvique. Peut-être même pour la taquiner pourrait-on l’appeller «la vagineuse» ? Ça peut rire : «ha, ha, ha, ha !». Ça peut aussi gémiriner hyper-sexuellement, tel haute-salope : «Mmmm, ahhh, ouiiii, mmmm, haaaa…». Sa présence est un mystère de chairâtre plissée, une promesse aventureuse de la dissimulation d’orifice et d’humidification. De ses pleines lèvres rubicondes émanent senteurs affolantes et nauséeuses ; filaments de cyprine acide. Écoute, écoute, elle peut même imitrer le loup, soyeuse et grise thérianthrope : «ahouuuuuuuuuu, ahouuuu». Ljoudune, mais là, delmande en susurant érotiquement, mais quand-même un peu mécharmment, comme elle jouerait de ses féroces ongles noirs sur une peau avide de sanglantes griffures : Ce qui sera a-t-il un poids ontologique et historique ? Est-il déjà là ? Quel est l’équivalent temporel, en mot donc, du «presque rien» ? Continuité, discontinuité, tu es toujours obsédé par cela ? Existe-t-il une sorte de gourlet d’étranglementation du presque-présent et plus-encore-futur ? Il semble que la conscience ne chuchote ni ne crie ? Existe-t-il une chimie des liens entre plersonnes, au sens par exemple de longs filaments étirables et verdâtreux ? Adviendra-t-il temps où choix pourra s’opérer tout les matins de son enveloppe physique ? Pourra-t-on incarner toutes choses et êtres en tous temps ? Suis-je ce qui sera ? Où slont et que font les dix mille grénérations me précédaninant ? Peut-on les entendre quand on bouge les bras, par exemple ? Se peut-il que magie soit ? Ou bien est-ce ta saloperie de sensibilité qui se joue aimablement de tézigue ? Le voltage de ta conscience peut-il être trop élevé, à te faire hurlier ? Un archétype découvert ou créé provoque-t-il comme des vagues à la surface de la conscience, de l’intériorité ? Si l’on écarte doucement les lèvres de pierre de l’enfer, apparait dessous un magma rougeoyant de serpents de fleu, un cœur mauvais, s’en échappe-t-il des lentes vapeurs nauséabondes et verdâtres (qui t’ont provoquée mauvaise nuit et tristes et tourmentée mâtinée, apeuré certainement fus-tu) ? ah ah ah ah ahhhhhhhhhh ah ah ah aha ahhhahahahahahahhhhhhh a h a a a
le létoscope est la troublante lanterne de la mort, prodiguant d’inconnues angoisses livides, chacun de ses regards projetant des gerbes d’un sang moite et noirâtre. qu’il doit être profondément délicieux, par fois, d’agir comme bourreau sadique… le létorama est la mise en scène de la vision de la mort le létographe est le créateur du mouvement même de la mort, ayant soin, ici comme ailleurs, d’inverser strictement le point de vue !
« une essence (eidos) est pour les grecs un mouvement, la dynamique d’une entrée en présence ou d’un apparaître. une essence est tout sauf une nature ou une instance fixe » (là c’est une citation de catherine malabou) elle est donc aussi à l’inverse passage en absence ou disparaître !!!! (là c’est nous…)
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