Gégé le roqueur, c’est tout ce que j’ai toujours voulu être… (812 article numéro, fin septembre 23)

Voici le début de la chanson de gégé le roqueur : « je ne suis que l’histoire d’une chimère… » bon, à ce jour, il n’y a rien d’autre, d’ailleurs.
note pour moi-même : tu découvrais le concept passionnant de « chimère psychologique » chez Michel de M’Uzan, trop cool de sa race !

Gégé le roqueur, bientôt en concert

Gégé le roqueur, chante vent debout

Gégé le roqueur, sa chanson du non-sens

Gégé le roqueur, seul et beau

ha, ha, que de souvenirs, hein, iéréïs, siegline et tous les autres : regarde, l’un des membres du groupe de rocknroll porte badge d’un autre memebre du groupe de rocknroll !!!! c’est beau et émourvant ! gégé le roqueur est bien sûr, c’est indurbitrable, l’un des membres, aussi, du groupederocknroll !!!!!!

gégé le roqueur est une chimère, ce n’est que l’histoire d’une chimère, comme son nom de famille l’indique presque…

mais, oui, mais oui, il y bien un piti clin d’œil à notre cher molinier…

811 numéreau, article du presqu’automne… y a d’la tronche… lalala, la, lalila, laaaa, lalala, li… ahhh, des jours, fau’ ben just’ faire bouffer eul’ bestiau…

du poême éructatif du poêrme éructatif de la rongeance du chant de l’orage magnétique de la chimère holistique de la schirmère horlistiqueuse de l’acide spirituel de la rougeur ontologicle diluée à l’acétone des tronches qui sont moi des moi qui sont toutes les tronches fracassées des tronches rongées de l’intérieur des tronches qui sont nos têtes vues de l’intérieur des tronches qui sont monstrueusement nous moi emporté par une temprête magnétique moi cognant ma tronche dans troutes les étances moi moi moi dont la pensées est acide moi et ma tronche qui adore depruis sli longtemps faire fondre l’étance moi fond

danse de ma sale tronche…

alors, alors, Chââtanka peut être aussi oiseau-mort, diseuse des histoires de chaque vie ? (article 810 fin de l’été 23)

Ouï Chââtanka, oiseau-mort, te dire ton histoire, de folie et de rage et de peur

le vol de chhhhâââtanka, oiseau de mort

te souvriens-tu ? tu possédassionais une chouetteuse empraillée, heureuse te choyant, quand soudain, vils moucherons y firent demeure; de sorte que lassé de leur plésence, tu ne trouvas d’autre sorlution que d’envelopanimer le volatil dans du film célofane. un an passât comme bois mort glissant avec l’eau calme, quand soudain, tu fus pris d’une envie de boucle d’oreille confrectionnée en serre de piaf ! otanti alors la protection, quelle ne frut pas ta surprise de découvrir le rapace, fait uniquement d’os, de peau et de parties les plus solides des plumes ! les importuns habitants avaient sans droute rongés leur pitance de barbules ! comme beau ! comme extraordinaire ! comme ce qui doit être vient naturellement à moi ! hourrate !

mais, mais, avais-tu cornaissance des autres noms de chââtanka ? c’est aussi « couilles de lumière » et « androgyneux suprême » !!!!!

chatâânga est sur l’éprole de chatânka

l’infinie tournoison de chââtanka

chââtanka nous regarde ?

le chien fouetté, de profondes et sales blessures, est sanglant, vient se réfugier dans le vagin de celle qui est couchée, bientôt puant cadavre… (article 809 de oute 2023)

c’est donc l’histoire de Chatanka, ou Châââtaka, ou Chatanga, ou Nâââr, ou Nâââl, ou Zelenda, peut-être… c’est donc l’histoire de l’arbre de l’espoir ou de la danseuse sachant révéler vies antérieures et futures à qui la contemple, envoutriné, ou enclore du guerrier maléfique androgyne… C’est aussi l’histoire des trois boules translucides comprenant chacune un espace-temps clos sur lui-même, rien ne s’y déroulant qui n’y soit déjà.

Chatââânka est un guerrier sombre et une morte blanche

attention ! chââtanka fait la danse de la guerre puissante !

ha, ha, ha, y a d’la morde !

Ljoudune, qui déjà disparaît semble-t-il, devenant d’une translucidité certaine, accordine ses atours aux merveilleuses sandrales qu’elle se confectionnâtinisait lui-même…

danse des sandales belles

Ljoudune (n’a pas la latche) est aussi guerrier trans-humain – or et puissance, c’est sûr, porte, plus tard, de magnifiques parures métarlliques minimalistes (curlotte et couvre-chef) mais non dénuées de fabuleuseuse bleauté… article 805, juillet 23, quelques jours avant le troisième anniversaire de mon abstinence (moi si fiéreux)…

les kjhfkjhgm MDPIDMQKDP 454655KJkjhbskhf de Ljoudune.mp4

danse merveilleuse de Ljoudune, guerrier d’or :

danse de l’or et de la mort

Ljoudune est un couple de loup, envoûteuse lycanthropique (article 804, juin 23)

Il y a, oui, oui, si, si, tu vas voir, le masquemétal de loup (ainsi précisément constitué et confectionné et portinaillé que l’énergie lupusique se concentre très très exactement à 47,5 likus sur le diencéphale, démultipliant ainsi et alors les facultés sexuelles du porteur), la peau du loup (rendant qui-la-porte fort et puissamment bestialement follement dérchaîné), également encore le chant du loup (en ouïs-tu la démesure envoûtante ainsi que la parfaite beauté ?), c’est Ljoudune assurément…

les, préanbrule, flétrissures et la griffure de Ljoudune à la peau bronzée…

pour moi plus tard : te souviens-tu de ta bague de suidé odorante ? tu l »avais confectionnée à partir d’un os récupéré en repas de famille, puis consciencieusement, tous les jours, tu y vaporisais des mauvais parfums périmés, puant littéralement…