peintre d’ombre, je suis le



















peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le










alors, il y a les ombres peintes de la nuit, mortes et froides et immobiles, qui le jour venu sont sépulcrâles et anachroniques, puis celles du jour, où les ombres, fugaces, échappent sans cesse à leurs dessins, pour n’y revenir, comme pissseuses honteuses et condamnées, que le lendemain, toujours…