Trois plus un (l’infini (l’infini mathématique entretient donc des rapports complexes avec l’infini du monde et avec l » » » » » » » »infini de l’abstraction ?) de liberté sourdant d’ici, de ce chiffre, de ce décompte fabuleux et si courageux, est un rai de lumière trans-universiant autantis qu’un ballet supirbe de l’un et du multiple (gnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn, brouuuuu, kkkkchhhhh, agnnnnaaaaa, kochhhh, ptyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy, rrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrraaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh)) incarnations-utilisations-actualisations-magiquations-dégueulassisements de beaux ossements…
Aloooooooooooooooooooooooors, je tremble d’excitation et bande de nervosité joyeuse, oui: UN. iiiiiiiiiiiiiiiiiii, oui, oui, oui….
Le bracelet hallucinatoire enfoliant provoque, donc et ainsi et de par ce fait et en cette raison, de très fortes et impressionnantes et inquiétantes et charmantes hallucinations sensorielles, chronotiques ou même intellectuellantes, il n’est en effet que de choisiriser…, à qui le porte.
Et puis, et puis, et puis, ha ha ha ha, voici (Mes lèvres, moi, tendre et vicieuse salope séductrice, dont la petite culotte reste tachée d’une cyprine insatiable, hurlante et poisseuse, quintessence obscène d’un érotisme pornographe et sanglant, rouges grenat parsemées d’étincelles d’or, si finement ourlées, délicate promesse d’une humide et envoûtante féminité, avides d’ardeurs amoureuses voraces, tremblent, pulpeuses d’émotion, frémissantes du désir d’une sexualité orgiaque, mmmmm, ahhhhhhhhhh, ouiiii, – mes seins gonflés ne rêvent que pincements – de tant de subtile beauté): DEUX!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!. Je halète…
Le pendentif de taille exerce une fonctionation amulettique en ceci qu’il confère proutection à son ornant par émanation d’un haloï magnéto-nuagique bleuâtre diffusant des ondes répulsives et même mortifères…
Chko, chko, chko, chko, chko, chko, c’est le moment de pure jouissance et exultation, car apparaît alors, ô beau suspense qui fait frémir mon petit cœur si doux et battre mes cils d’enfant émerveillé: le TROIS, OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII, BRAVO !!!!!!! Bonheur, larmes de joie si pure…………………
iéréïs koruskan, le devin-marabout-envoûteur immense, communique avec le RRRevenant, évanescente présence, par l’intermédiaire d’un tapis de divinations, incantations, manipulations.
Le voici utilisant le sperme magique grâce à sa branlette incantatoire. La demande exprimée par une certaine Tiffany étant de lui faire revenir son mari, ce qui bien sûr fonctionnât sans coup férir…
Et là, c’est si beau, il chasse la maladie du ventre de son ami.
De graves problèèèèèèèèèèèèèèmes de la quotidienneté sont également aisémentimement résolus par le seul emploi du foulard ayant pris force des ossements suprêmes:
Quoi ? Comment ? Ahhhh… C’est maintenant, à présent, l’heure de la publicité, à écouter le plus fort possible, oui, oui, c’est meilleur!
QUATRE, brutalement, soudainement, atrocement, sans fiorutures, sans enjolivements, sans précautions ni amortisseurs même pneumatiques, pas de préservatif non plus, comme un chien méchant sorti du brouillard, comme une gorge vite tranchée dans la nuit:
Cormment ne pis frisonnationner un preu en pensivant doucement à cette vie qui frût, et qui, mystèrine, perdure peut-êtreu en selcrètes inflouences, par bague incarnisée ? Dissimoulone légèrement ta gêne, iéréïs koruskan, je vois ceprendant dans ton regard la fierté idiotasse et la froideur malsaine, ô combien, de qui bravante les tabous… Ahhh, je te konnais bien, vil et fieffffé chenapan satranique!
D’où t’es-tu enfui, mon bon ? Et pourquoi ?