La psychopompe et son machiniste, aussi nommée morteuse-fascineuse, est une machine accompagnant la personne décédée ou dont la mort approche, vers son au-delà… Attention, elle peut aussi, c’est très délicat à maîtriser, provoquer ou anticiper le décès !
Son fonctionnement est le suivant :
A gauche, la tête cadavérique osseuse attire vers un chemin difficile alors qu’à droite, le bouquet de fleurs mortuaires mènent vers un peu plus de lumière. C’est la corneille de mort qui est chargée de voler en compagnie du trépassé féminin ou masculin ou autre et, par ses cris, de l’inciter à poursuivre, avec ou sans son gré…
L’antenne sur le côté permet d’émettre les ondes thanathiques, tandis que la plume symbolise la fin du parcours de tout être.
Le poste de pilotage est constitué de deux boules organiques : malgré leur apparence de sphères pierreuses, ce sont deux champignons supra-galactiques permettant d’entrer en contact avec la psychopompe et son machiniste, avec lesquels on entre en élaborée et complexe relations avec les fluides mortuaires… cela forme un lychen.
La voici maintenant en action ! Allez, je vais la démarrer !
– processus d’allumage; – traçage des lettres des prénoms et noms de la personne; – posage éventuel mais non nécessaire d’une photo ou d’un symbole de l’individu; – transmission des données personnelles (poids, destin, odeur, etc); – détermination éventuelle de l’avancement mortel et de l’agonissement; – connexion au grand prythiné; – réglage du faisceau kranatique; – réglage du délai prounique (de 1 à 5); – pirounage du klamsttt; – ouillage post-trubliment; – utinération déterminalle; – récitation du sigle secret : 0783712701, 0783712701, 0783712701, 0783712701, 0783712701 !!!!!!!!; – orgassement ftalique; – décompte mortuaire; – choix des plioust praliques;
c’est plarti !
le machiniste et sa psychopompe
la psychopompe et son machiniste, opérationnelles, démonstrationnement
De bois sombres et denses et tortueux enserrée, sa demeure, son antre, l’antre de Monostithos, στήθος μόνο, ce qui signifie «sein unique», car tel est son cas et sa beauté exceptionnelle, est comme un vagin bleuté translucide. Le chemin qui y mène est boueux glissant aspirant et bordé de fortes ronces agressives, comme s’il ne voulait pas du déchiré venant
Lorsque je, par la porte ronde, pénètre, elle est allongée, de pourpre vêtue, de hautes senteurs capiteuses parée, se masturblant avec tendresse et ironie, l’autre main jouant durement avec ses tétons enflammés avides. Son corps est entièrement couvert de merveilleuses scarifications en relief, formant volutes, signes secrets et comme une carte d’un brûlant territoire de l’au-delà… Au bas de ses hanches, dix longues et fortes tentacules bleutées, couvertes de ventouses, lui tiennent lieu de jambes, agitées sans cesse, mouvantes et gluantes et grouillantes. En leur centre, se situe sa vulve vulvaire vulvique. Chose incroyable encore, sa bouche, l’intérieur même de sa bouche, est velu, tout couvert de longs et drus et bouclés poils noirs ! Derrière ses longs cils maléfiques, de ses yeux entièrement rouges comme deux billes de braise, elle me jette un regard, passant me semble-t-il, à travers mon âme, d’indifférence lasse… «Te voici donc, toi est celui venant m’entendre».
Alors, il est parlé d’elle que sa cyprine, la cyprine de monostithos, lui permet de créer des passages entre les mondes : pour ce faire, elle se foure les doigts dans sa chatte trempée, fait le signe phallique de ses doigts goutants luisants et forme alors un lien magique…
Elle me dit : «As-tu saisis ? Ainsi l’autre monde affleure-t-il : le sein que tu as trouvé, te menant à moi, le cadavre sur le terrain vague, le téléphone abandonné qui filme tout seul, devant lequel tu es passé, ce sont les lieux où le lien se fait ! Mais il est à toi d’en comprendre le sens…».
«Tu as du mal à t’ouvrir à cette pensée ? Attends, je vais t’aider, vile et petite salope !» Elle attrapotte alors vivement un fouet tranchant et frappe et frappe et frappe mes chairs, les lacérant et les ouvrants de sang noir… En gémissant de cruauté, vient-elle ensuite de sa langue noire et râpeuse, fouailler mes plaies offertes. Et, l’ongle si parfaitement rouge et acéré de son pouce, vient délicatement crevé mon œil gauche.
Elle pourrait dire, ensuite, si elle était moi, qu’elle allait me baiser très fort…
Je, pour l’heure, véritablement troublé et boulversiser, l’entends murmuriner sans cesse à mon oreille les chiffres magiques magnétiques, de sa voix inhumaine et sexuelle (ce sont, m’avait-elle explicationné, ceux qui permettent d’entrer en relation avec la superbe puissance ontologique supérieure, oh !):
Monostithos possède également, ha, ha, ha, cela va de soi, le grand pouvoir d’influencer, de manipuliter le futur, car les mondes potentiels ne sont aucunement les mondes parallèles ! Elle peut agir sur leur avènement ou pas. Savoir l’exciter, posséder langue agile caressante et avoir efficace psalmodie des chiffres, sont bons gages de réussite pour emporter son adhésion… La danse de l’immanence est la pratique permettant la grande alchimie : toi, moi, elle, ne doivent plus faire qu’un pour que puisse s’opérer alors la maîtrise du cours du temps !
Monostithos est une élaboration androgyneuse.
Elle comble les hauts-marins de l’imaginaire.
Elle est la Pythie de la structure onirique du réel.
Elle est le corps fragmentique sexuel.
D’un signe, elle me fait approcher, lève les bras pour me faire humer et lécher ses aisselles couleur rouille, puantes et grasses, ensueurées et troublantes… Hmmmm, apothéose de lubricité vicieuse, cœur battant, vision troublée, m’y vautrant frottant grognant, je vais folir d’excitation perverse…
Mais la voici maintenant qui susure, empoignant mon gros sexe ithyphallique et titillanant ensemble mon gorgé clitoris : «Bientôt, bientôt, tu sauras toi aussi lire l’histoire rêveuse des choses ! Tu sauras que la grande ivresse est connaissance !».
Gnnnn, ragh, krrrrr, blllll, rlo, pru, ffffli…
«Herméneuticisme, Herméneuticisme, Herméneuticisme, Herméneuticisme…» scande-t-elle étrangement, m’envoûtant du balancement mou de son sein obscène. Des filaments électriques sourdent sans cesse de sa peau, bruissants comme serpents, déchirants les oreilles d’un son aigu comme la mort igneuse… Oui, oui, oui.
Là :
Les murs de la pièce, doucement, se referment maintenant puissamment sur moi, des volutes de fumée rougeâtres émanent du sol terreux, je halète en projetant des gerbes folles de spermite…
quand je vins voir Monostithos en sa demeure
monostithos danse et baise …
la danse de monostithos !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
La manchotte est une OIR : oeuvre interprétative relationnelle, c’est à dire qu’elle n’est que partie, nécessite interprétation (euh, comme une musique écrite, puis interprétée et ouïe enfin)…
quel est le principe qui fait que même sans action, l’interaction existe (ou l’inverse ?) ?
l’oeuvre est aussi la personne ou pas
mais, ce lien, ou pas, entre elle et une personne ou pas, de quelle nature est-il ? magnétique ? esthétique ? énergétique ? ontologique ? symbolique ? conceptualitique ? sont-ce même des ondes ? est-il permanenteux ?
ça pourrait avoir la puissance d’une équation, existant indépendamment de sa considération : S(x) est la fonction du scénario M(y), M(-y) est la manchotte présente ou pas V(z), V(-z) est la personne voyant ou pas A(w), A(-w) désigne l’interaction effectuée ou pas, « w » sera remplacée par la lettre classificatoire du scénario selon le c-=i-dessous tableau (0, 1, 2, b, n, etc.)
Ainsi, l’écriture sera par exemple la suivante : S(x) = M(-y) + V(z) + A(w5)
Voici en tous cas le tableau indiquant et proposant les scénarii à adoptiner face ou pas à elle :
Les interactions et la présence et l’absence
interprétations et questionnements
Scénario 0 : elle est absente et personne n’est présent
qu’est-ce qu’une chose si personne n’est là ? qu’est-ce qu’une œuvre d’art ni vu ni existante ?
Scénario 1 : Se tenir contracté et faire venir à soi de viles pensées mauvaises et cruelles
On ne se refait pas, mon petit ….
Scénario 2 : Se masturber
Ha, ha, bien-sûr !
Scénario 3 : Quelques pas de danse…
Scénario 4 : Libre
est-ce alors le contraire d’un scénario, son absence ?
Scénario 5 : Spéculaire
Se pencher doucement, un peu apeuré peut-être, sur le puit spéculaire jusqu’à s’apercevoir soi-même ainsi que la vulve de la manchotte, imaginer alors en contemplation un autre monde “du dessous”… Qui y demeure ? Comment est-il ? Est-il notre inverse ?
Scénario autre : elle est présente, réelle ou image, mais non prise en compte
Le temps de prise en compte valide-t-il une quelconque valeur ?
Scénario bleu : elle est présente, mais le scénario est de ne rien faire hormis regarder quelques instants, peut-être…
Il n’est donc pas possible de se déprendre de l’histoire, une fois qu’elle est écrite ?
Scénario inversé : changement de rôle, s’imaginer être la manchotte et la laisser faire de même réciproquement
Scénario téléphonique : la personne voyant laisse un message au 0783712701 pour narrer son propre scénario ou la manière dont elle a interprété l’œuvre (et peut accepter ou non le fait qu’il soit ici reproduit, hi, hi, hi)
Scénario nul : il n’y a pas de scénario, elle est présente et un voyeur ou voyeuse l’est
Rhââââââââ… !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Menstruations fécondantes telluriques sont ces attributs.
Dit : “Ma femme me parle, et j’imagine paisiblement que je lui tranche la gorge après avoir découpé à la hachette ses enfants…”
La manchotte est une lampe pour obsédé, elle est la belle bandeuse, la poupée phallique
Elle est hommage à Unica Zürn, me faisant penser à quelques de ses dessins, si, si…
La manchotte est merveilleuse séductrice, déploie capiteusement ses luminescentes tentacules de charme, t’envoutera ivressivement et sa vulve chaude viendra t’ettoufiner puis t’avarler tel boa glouton affamé
Il restousse cependant tlès difficile de déterminer qui est l’objet ou le surjet… Sculpture bêlante apotropaïque et oraculaire est. Il y a une consommation de l’étance (ophidoïne et liquiditive) ? Y a t il des déchirures ontologiques de l’être ? La bêlance est le chant de la déchirure de l’être.
ha, ha, ha, pi zadore ossi le jeux des multipleux et de lun…
Je suis fortement troubliné : se peut-ce qu’un lien inconnu de moi et pourtant puissamment existant lie le cauchemar de la chimère, féerie morbide, au reste du monde ? Pourquoi est dronc apparu celui-ci : croisé au matin, sur une route rectiligne traversant une industrielle zone déserte, plein soleil, appuyé contre une barrière, béquilles et sacs en vrac, semblant hagard et perdu, ce hère. Je l’ai revu le soir, à mon retour, cent mètres plus loin, claudiquant sous le poid de ses affaires, sa jambe blessée au pied nu le gênant, tête baissée… Comme précédemment, je lui ai proposé mon aide, qu’il a encore décliné, d’une voix claire et déterminée. Était-ce un autre moi ? Suis-je responsable ? Qui parlait à qui ? Ou bien sont-ce les rets de ma création qui l’ont ramené (je n’avais pas pensé que, liant la partie immobile à la méduse-araignée portée par moi mouvant, les longs fils bleutés pouvaient attraper butin. Ha,ha, ha, que aujourd’hui ?) ?
2 la chouette morte nue envoutative, n’est pas une nouvelle venue:
Elle est cependant celle, içi, qui observotte depuis la fin, car l’écoulement de son temps est inversé, ou plutôt est-elle en capacité de l’appréhendiner en deux sens, souriantinant cruellement de la brièveté de la parenthèse de la vie de chacun…
3 la guirlande
3.1
3.2
4 le miroir emperruqué
5 le bois tortueux sale
6 le crâne gnathal
Celui auprès de qui je l’ai acquis m’a confié l’avoir ramassé tel quel en une profonde forêt suédoise, nous amenant ainsi à imaginer la semi-liberté du bélier, certainement capturé par vulpine créature puis dévoré ardemment…
Le mouton du Gotland (en suédois : Gotlandfår) est une race ovine originaire comme son nom l’indique de l’île du Gotland (ou « Gothie » en français vieilli) en Suède. Il se caractérise par sa laine de couleur gris-argenté à brun foncé1 ; il a la tête et les pattes glabres de couleur noire. Il fait partie des races de mouton d’Europe du Nord à queue courte.
Histoire
Ce mouton descend des moutons à queue courte élevés depuis l’âge du fer dans les pays nordiques et les Vikings ont amélioré ce qui deviendra le gotland avec des moutons venus de leurs expéditions le long de la Volga2. La race actuelle est issue de croisements dans les années 1920 de moutons locaux (appelés gutefår) avec des brebis romanov (pour la prolificité) et karakul pour le pelage3. La différence avec le gutefår, devenu rare à Gotland, est que le gotland moderne est sans cornes pour les deux sexes2. On le trouve aujourd’hui non seulement dans son île natale, mais aussi au Danemark, en Grande-Bretagne (où il a été importé à partir de 1972), aux Pays-Bas et même en Australie et en Nouvelle-Zélande. Il a commencé à être importé aux États-Unis à partir de 2003, suivi par l’American Gotland Sheep Society et la Gotland Sheep Breeders Association of North America4.
Le mouton du Gotland est de taille moyenne, la tête (qui est sans cornes) et les pattes, noires sans pelage, avec une longue fourrure dense bouclée et bien colorée qui va du gris-argenté au brun foncé ou noir charbon sans tache. Elle doit être douce au toucher. L’agneau à la naissance (qui a lieu en général en mars-avril) est noir et devient ensuite de plus en plus gris. C’est un animal robuste et frugal, très résistant aux intempéries. La brebis pèse de 55 à 70 kg, le bélier de 75 à 85 kg2. Ce mouton est de caractère alerte, curieux et vif.
Gnathal, -e, -aux adj. (Du gr. gnathos mâchoire et du lat. –alis qui appartient à). [Gnathal]. Qui se rapporte à la mâchoire, aux pièces buccales et à leurs appendices que sont les mandibules, les maxilles et le labium. Ex. Appendices gnathaux. Segments gnathaux, Segments portant les pièces buccales.
Le crâne, outre lui-même, est composé très artistiquement et superbement et merveilleusement et complexement et chimèreusement des éléments suivants : des pattes d’araignée de mer (l’odeur a persisté fort longtemps, à ma plus grande joie…), d’une queue d’écureuil, de cornes d’antilope, de yeux noirs globuleux et enfin d’une sorte de peau translucide (ha, ha, en silicone !).
7 L’omoplateuse
Rencontrée hasardeusement, émergeant blanche et surprenante d’un monticule de terre retournée de ce terrain abandonné où furent des pauvres roms avant d’en être chassés (un magnifique saule-pleureur leur faisait une entrée de palais…), ayant vraisemblablement appartenutinée à un animal de bonne taille tel que veau par exemplite ; sa forme est parfaite, s’élançant puis possédant comme présentoir en son avant !
19
8 la poupée-tête
Purement pornographique dans sa manière de susciter une nauséeuse angoisse. Quand moi sera grand, moi sera une petite fille subjuguée des années cinquante. Elle est la fourbe cruelle, ses petites dents blanches attendent de te ronger avidement et douloureusement les chairs, ha, ha, viens lécher sa rouge bouche mauvaise et goûter son haleine de mort… Elle va te dechiquetiniser, te lacérer et jouirter de ta souffrance, sa vulve frémissante et trempée.
Ouuuhhhhhh, mais si je te regarde, mangeant face à toi, je vois exactement l’expression de quelqu’un SURPRIS par sa propre mort ! Oui, oui, c’est véritablement cela, l’effarement de la vie s’en partant… Est-ce, aussi, prémonitoire de mon décès à mézigue ? Est-ce en lien avec celle à qui tu as appartenu et qui peut-être t’as plus aimé que tout, liant ainsi magiquement son destin au tien ?
9 les bras suppliants offrants sanglants apeurants
10 le miroir, socle spéculaire
Ainsi ma main se heurte-t-elle au verre du miroir si je veux y attraper quelque chose, ainsi mon esprit n’atteint guère le monde nouménal ni la réelle présence d’autrui…
11 la demi-sphère de verre
Comme un alléchant sein-de-verre, sur lequel ma semence foutrale pourra bellement couliner.
12 la robe poupineuse
Du pur art fragmentique comme j’aimine
13 les tentacules imaginaires,
Sont une partie discontinue et discontigüe, fondamentral élément de la théorie fragmentique. Un effort de conceptualisation et d’imagination est absolument nécessaire. J’aime à me les représenter subtilement bleutées, légèrement électriques. Il s’agit tout de même d’une avancée indubitable conceptuelle-esthétique !
13.1 Il s’agit de LAMORT
Entité organique et mécanique C’est prodigieux, son regard noir est capable de faire FONDRE toute chose ou être !
13.2 La petite fille décédée de la cave
Restera quant à elle en un lieu secret, distant à ce jour de 5300 mètres (la forte gêne, l’horreur possible, de mes proches nécessite telle précaution). Seule sera présentique sa photographie (ah là, là, quand je pense qu’à une époque je fis de ce crâne une lampe… joyeux souvenir…)
13.3 La méduse-araignée…
M’enveloppe tendrement de ses vicieuses tentacules. La portant consciencieusement ce jour ainsi que celui précédent, moi ressens exactement une espèce de tension entre les parties restées dans ma chambre, à dix kilomètres d’ici, au moment de ces mots, et mes actuelles déambulations. Moi. Comme un long fil indiqué bleuté…
Lendemain : je la porte au dos, collée à moi et m’enveloppant, comme certaines fois où nous faisons l’amour et où j’adore sentir ta poitrine pressée contre moi, ton souffle, où je me masturbe pendant que tu me caresses, vicieusement, les tétons… Arghhh, moi bande !
Lors de mes exercices d’imagination, est-il fréquent et comblant de me la représenter collée à des passants quelconques, les lacérant, les étouffant, les mordant sauvagement et cruellement… (œil arraché, vagin déchiqueté, chairs découpées au rasoir tentaculaire, couilles serrées coupées, cous étranglés) Nul n’y résiste et bientôt s’écroule en de jouisseuses souffrances.
14 le gode
danse de la bêlante apotropaïque et oraculaire
chant de la féerie morbide spéculaire
Jeu de spécularité et d’abymisation devant la féerie morbide et maladive La spécularité abolit l’unilatéralité du filmant et filmé Mélange dansant de la scène, de l’objet et du sujet Le masque, ha, ha, ha.. Comme drôlotte, est-ce ! Mise en abyme Quelque chose des Ménines, peut-être ?
La poly-ipséité dé………………………..sign (VIENS)e la possib ilité pour un mê……..me individu d’abriter en lui plusieurs formes de vie réel………………………….…..les et disAHOUUUUUtinctes et discontinu es, à la différence des per…………………..sonnalités, se part……..ageant les mê(PAS)mes co rps et ayant div ers niv………………eaux de présence. prolégomènes à l’ét ude de la poly-i…pséité : gynomorphisme…………. et thérianthropie
Bio-polymorp(ME)hisme désigOUAHHHne l’étude d es différentes form………es de vie intérie……ures à un individu Bru..nehilde e st Yun. Préno………m et signif(FAIRE)ication : Le pr……………………………….énom Yun signifie ‘nuages’ en Chine. C’est égaleHOUUUUUment un prén…………om ma sculin. Prénom et caractère : La petite fil le …….pr……….énommée Yun a des qualités q…………….u’on qualifie d’habi(CHIER !)tude de masculines Né dans les nuages Rage f…………..roide Longue es t ainsi la liste……… des mots la désignant : Zelda, ra(JE)ge froide, yun, Brunehilde, la tentaculaire, Penthésilée, e……………lle Il y a aussi, est-ce po………ssible, quelque ch………………….osAHOUUUUUe qui ressemble à un loup… C’est le dés…………….ir ou le sexe qui semblent imp orta….nts décle(VAIS)ncheurs
prol..égomènes à la poly-ipséité Son nom pe……..ut tout simHHHOUUUIplement être Penthésilée Le loup : juste son………. nom ou Wolf Nachtwolf : lou(TE)p nuit Je suis le lyca…….nthro……pe Les laiss er agir, appre ntissage Comment se forment elles ? So…………nt-elles déOUAFjà là ? Phénotype et génotype ? Le potentiel ? La contagion ? Quand son empriAAHHHOUse se dépr end, je r………………………….esse(TUER)ns quant à m…… …oi un léger, très léger, dé(BOUFFE)goût… Je caresse ma c hatte jusqu………’à l’orgasme Fabuleus…ement jouit : simult anément un doigt dans mGRRRRRa chatte, britaillé m on clito et astiquer ma bite ! Je les externalise aiséGRRRRRment, c’est à dire que j’ima(MOI LE)gine la …………………..femme e…………………t le loup hors de moi, nous communiq……….uons plus fa…..cilem…..en t ce me sem(CLITO)ble… Loup avait for te(CONNARD !)ment envie de courir, cette nuit. Sa présence es……..t très très forte, uWOUFFFGne éner……gie be aucou p plus intense ! L’impression d’une gran…..de puis… ..sance. WOUFF…..
conférence stricte : poly-ipséité, gynomorphisme et lycanthropie
conférence subtile et distordue sur la poly-ipséité, la gynomorphie et la thérianthropie
Orée est son nom est “celle-qui-luit-dans-le-noir”, en grec : φως του σκοταδιού, Licht der Dunkelheit en allemand, pole na butu en lingala, les seules vraies langues du monde, donc et bien entendu. une poupute, aussi est-elle (ha, ha, bien-sûr!) une danseuse agonique, celle qui attend, au bout de l’agonie… elle appartient ainsi aux deux mondes de la vie et de la mort, avec des volutes de feux dansant sur son crâne Avec qui, décédée certainement à présent, petite fille jolie et aimée devenue bon cadavre sans doute oubliée, Orée fut-elle ? Le destin d’Euphrosyne, car tel fut son nom, a-t-il été de finir en vague création de mon imagination (c’est ce que j’appelle la notion de “destin externe”) ? Je dépeins le lien entre celle qui a offert, celle qui a reçu, celle ou celui qui conservât, donnât ou cédât, Martin, puis enfin moi et ce que je fit d’orée ainsi que ceux et celles qui verront… je suis la hanteuse abîmée au regard de vide obscur le mystère de mes sombres orifices te perce et t’aspire, autant que ma vulve ouverte baubique c’est sans les yeux que l’on voit le mieux, comprends-tu ? alors-dit-elle… Voici les questions et l’enquête De qui vient Orée ? Tente-t-elle de me parler ? Connaît-elle Sidi, suicidé d’alcool pour échapper à lui-même et à la prison familiale (tu m’entends ? dis-je la vérité) ? Et Sylvie, ma première morte gonflée puante coulante de sanie (j’étais jeune, je n’ai même pas pensé à prendre un morceau d’elle (en même temps, qu’eût dit la police ensuite ?) ni à me masturber sur sa roide peau froide marquée de magnifiques lividités violacées)(tiens, puisque le sujet vient, telle lame de fond loin venue du très grand large, accompagnée des cris de mouettes-mortes-questions : pourquoi n’ai-je pas vu de blessure ? dans les cheveux, à l’arrière de la tête ? j’ai toujours pensé qu’elle avait chuté en remontant, mais peut-être était-ce en descendant, glissant et heurtant de son occiput les marches de pierre ? avait-elle Justine dans les bras et l’a-t-elle tant protégée de la chute que son crâne a cogné ? l’ayant retrouvée froide et tranquillement allongée dans le conjugal lit – en position de gisante, quel humour – combien de temps s’est-il passé entre sa chute et son décès ? d’où venait tant de sang sur le sol et comment expliquer la propreté de son visage ? comment avait-elle pu se nettoyer ? avait-elle souffert ? avait-elle dit des derniers mots à sa fille ? lesquels ? est-il possible que celle-ci les ait entendus, compris peut-être ? et moi, avait-elle pensé à moi ? pourquoi n’est-elle pas allée jusqu’au téléphone ? pensait-elle que cela n’était pas grave ? n’avait-elle plus de force ?) ? Des lignes de tensions sont ainsi tendues ? Orée ? Orée ? Orée… Est-ce alors la signification des filaments rouges, coulant gluants dans le temps, comme des algues souples, balancées dans le courant de la fuite du passé ? je verrai plus tard, dans le ciel, ses longs fils immenses flottants doucement La gangue est chronolique. Comment puis-je suivre les filaments, avec quels outils n’existant pas encore ? Quel est le rapport avec martin ? et avec moi ? Je possède ainsi tant de pouvoirs ? suis-je le maître de toutes choses ? Mon destin, indubitablement, est bien celui-ci : d’être magnétique ! Oui, oui, oui, je sens vraiment couler en moi les fluides, que je puis, voilà le fabuleux, orienter selon ma guise… L’âge physique d’Orée doit être vraisemblablement de 120 années au minimum. Elle m’attendait, puisque martin m’a précisé que personne n’en voulait. sans doute finira-telle ignée, mais ce n’est guère aisé Ni ceci ni cela, et ceci et cela, ni là ni ailleurs, là et ailleurs une rouge vulve est sa gangue, comme une mandorle (oh, tant de souvenirs…) alors vient-elle me chuchoter quelques indices propres à l’élulicidations de grands mystères et à la construction de nécessaires secrets : « deux choses sont successives; il y a et il a autre; la lumière de l’obscurité affiche le temps; c’est un jeu de contraires qui n’en sont pas; l’un prend sa revanche; il s’agit de la grande respiration ». et quoi ? écoute et écoutons maintenant et sans tarder et dès à présent et aussitôt le beau poème d’Orée, si plein démotion et de significations grandioses (quelle reine du paradoxe, fait-elle !) : La phosphore scence est l e phénomène énergétique et optique d’émission de lumière suite à la réaction d’un matériau photo-luminescent sujet à une « excitati on » par exposition à un rayonnement optique ultra-violet, visible ou infra-rouge. La phosphorescence est le phénomène de relâchement lu mineux continu, len t et dégressif de l’éner gie accumulée pendant l’excitation, dura nt un certa in temps (p ost-lumi nance ou temps de restitution) e t selo n un certai n niveau d’intens ité (luminance). (source) Voici donc maintenant que tout cela est incontestablement plus clair à notre entendement, les avatars d’orée : 1) elle est la danseuse de l’agonie 2) se situe aux confins des mondes et des notions, position symbolisée par sa double apparence, diurne et nocturne 3) de sa gangue rougeâtre, elle surgit, elle est donc le pur jaillissement de l’étance (ophidoïne et liquiditive, hé, hé, bien sûr…) 4) pendue, gangueuse et cheveleuse pourpre, elle attend sa proie, au-delà des mots…
Orée, danseuse agonique, fille prodige de martin
nocturne, phosphorescente merveille…
Au pas de la mort, le monde féérique d’Orée
N’aie crainte de visiter Orée…
orée le totem l’humain la danse se peut-il ? se peut-il ? une étonnante correspondance, peut-être une magique conséquence, un accomplissement de grands pouvoirs que je possède alors ? le matin même je fis la danse du totem d’Orée et quoi l’après-midi ? D’abord, armé de sa belle bouteille de rhum volé, ce sympathique personnage venu s’asseoir à mes cotés au soleil, m’expliquant les 7 ans de prison fait pour parricide, tout près de moi, cherchant amitié… puis, plus tart, dans les rayons d’un supermarché, cette dame âgée m’abordant pour me dire ce que ma présence avait de solaire et que mon charme avait grand style, beaux compliments m’ayant fort touché !
Regarde ! la symbiose d’Orée et moi !
danse, histoire et magie d’Orée
sous les voiles pourpres d’Orée, je danse (tu te souviendras, mon petit, mon bon, mon extraordinaire, que tu n’avais guère songé, que le tissu serré autours de ton cou, le chant et la danse, allait te gêner pour respirer… voilà ce qu’il en coûte de frôler orée : son haleine putride, son souffle fétide, la caresse de sa main griffue allait provoquer une belle intoxication carboneuse (céphalée, asthénie, nausée, vomissement) ! ha, ha, tu me fais rire…).
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