la mort dans ma chambre

756, article

une morte phosphorescenteuse se balance au bout d’un ressort, arnimée par un électrik mécanisme pilotré par la voix; elle est sexuelle et sordide. la tête est restaillée un an en forêt, c’est une guerrière… toi, tu étais encore vivant, à cette époque…

suidée et moime, n’est beaux très !

avec chant de la mort…

j’égrène la danse de la mort…

ha, ha, le frôlement, ce n’est pas passé loin….
sentis-tu, ma petite, le vent fétide et sexuel venu des antres de la mort ?