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les attrapes-néances…
permettent de veillationner à la strabilité, équilibrité, du jeu de l’étance et de la néance.
la néance est :
le dérobement
la discontinuation
l’échappement
elle aussi est :
dégoulineuse
iiiiiridescente
d’une stolidité et d’une flagilité arachnéenne
gluanteuse
humidinée
je suis le gardien immense dont les ailes survolent la MERDE
c’est MOI
je
je suis la parfaite VOYEUSE !!!!
je je suis l’ivrogne de la vie, le délicieux et subtil ivrogne de la vie…
ici, il, lui-même, ou bien eux, tous les autres, porte ses serres-néances en belles bagueuzes, clest breau !

je suis un orgasme cauchemardesque







le donne-mort
des confins bleuâtreux et nauséabonds de l’obscurité, dans la touffeur de la nuit vaginale, vient le donne mort
il est le donne mort
il est le donne mort
il est le donne mort
il est le donne mort
il est le donne mort
il est le donne mort
ne le regarde pas trop, il va dépecer ton âme, violer ton corps et te FINIR !
son nom est aussi le mort-homme.
des sphères d’acier en feu, fortement hérissées de lames coupantes, tournoient dans un sifflement assourdissant et apeurant
elles font jaillir le sang


le donne-mort après sa brûluration…

de la combustion du donne-mort, sont les restes…
qui la possède
larme de métal
sera loin du mal

le lisiophile de la chouetteuse est un organisme symbolaire
quoi est un lisiophile ? il entité vivant et aimant êtrinner aux lisières, d’où le nom de lui.
çui-là, l’est entre le réel, l’imaginaire et leee conceptuel, tel quel…
la chouetteuse est symbole de la mort (de tas de chloses, de ça, de ceci, de cela encore et pi même du reste, d’ailllleurs!).
attributs divers de elle:
– la fugacité
– la brûlure
– l’étincellement (oh, iéréïs, t’as vu ? t’es content ?)
– le cllignotrement
– l’immatérialitéïsme
Et quoi ? Tu sais ?
Ben, iéréîs, grâce aux pouvoirs à lui donnailler, peux assener malheur où bon lui semble (mais des fois, c’est chouetteuse qui décide), pour cela, tenant en main les pattes serreuses, appellant la chouetttteuse en sifflant (de couleur verte), là ou kelle apparaitine, ou là où il décide de la poser, ben la mort, la maladie, le sort funeste sont pas bien loin… tu vas voir plus bas, j’va t’montrer et et faire voir !
parlenthèsine: plaqueuse de verre porte visage de moi (pfff, qui donc ?) dessinée par un autrui, projetaillée dans un radoche…









pourquoi je suis si beau fabuleusement et emplis d’atouts iridescents et d’une telle sensualité diabolique-magique

tu te souviens, en frimaire 228, ta michto affiche est restée presqu »une dizaineuse de jourasses…

le poëmeux bruleux d’homo-rattus
vla, ha, ha, enfin de la poésie brûlante…
vla de la poésie lumineuse…
vla d’la poésie éclairinante…
vla d’la poésie nocturneuse…
vla t’y pas que c’est si bleau…
le poêmeux épineux d’hommo-rattus







Ô que moi aime poésie…

les aventures de la poésie stercoraire (art. 700)
éphéméride de l’accouplement, de l’apothéose et de la déliquescence des mots et de la crotte
la premmmmière: 5 quintidi brumaire 228

6 sextidi brumaire 228

10 decadi brumaire 228

14 quartidi brumaire 228, pluie beaucoup donc papier y est parti, crotti restaillée…

19 nonidi brumaire 228, tout est partine…………….

haaa, ha, hi, hiiii, n y a déposinné une aut’, de belllle crotte, bien grrrosse pour qu’elle rlésiste mieux o intempléries…., c’est le 22 duodi brumaire 228…

26 sextidi brumaire 228… moins de pluie, crotte plus grosse, ça tient mieux !


au frait, c’est là, sous le pont grand… quand je reviens, au soireux, j’aime bien m’y arrêter, il n’ya jamais personne et c’est un bon coincoincoin