Nananana, ha !
Nanananananan, ha !
Nanananan, ha !
c’est si envoutationnant, cette rondeur noire hypnotrisante, si plodigieusement sensuel et pervers et voluptrueux… ta vulve vulvaire velue fumineuse orgasmisante, les volutes, enfin les volutes (oh ! si longtemps suis-je en attente…), parée de nuit inquiétante et attirante, parée de pourpre sanguinolence, parée de subtile légèreté mortelle, elle danse et volte et troune,
ça peut moi alors chantrer cela en susurrant languissament très : je vins vers toi ; s’ouvrirent et s’épanouirent tes cuisseuses si lascivement, de grises et tortueuses et rêveuses coulées fumiques s’échapplaient de ton fond vaginal attentif et sanglant, promesse de tendre chaleur gémissante, j’enfouis vite ma gueule sale en ton sein, que tes fluides rougeâtres viennent couvrir mon derme de ses traces malodorantes et gluantes, fouuuuaille ma langue le rictus pervers de ton gros clitoris gonflé et haletant, ta vulve est en lave, incandescente et écarlate écartellée, écartilleuse, tu es le puit du monde, frabuleux pertuis au bout duquuuuuel les plis du temps s’enroulent et se déroulent, quelle merveille, quelle pharamineuse et troublillonante beauté ! moi aimme ! Gicle alors !
jouissance de la boule
recherche puis contemplation de la boule vulvique fumeuse
l’outre monde de la boule vulvique fumeuse velue.





















































