le donne-mort










des confins bleuâtreux et nauséabonds de l’obscurité, dans la touffeur de la nuit vaginale, vient le donne mort
il est le donne mort
il est le donne mort
il est le donne mort
il est le donne mort
il est le donne mort
il est le donne mort
ne le regarde pas trop, il va dépecer ton âme, violer ton corps et te FINIR !
son nom est aussi le mort-homme.
des sphères d’acier en feu, fortement hérissées de lames coupantes, tournoient dans un sifflement assourdissant et apeurant
elles font jaillir le sang




























le donne-mort après sa brûluration…










de la combustion du donne-mort, sont les restes…
qui la possède
larme de métal
sera loin du mal










le lisiophile de la chouetteuse est un organisme symbolaire










quoi est un lisiophile ? il entité vivant et aimant êtrinner aux lisières, d’où le nom de lui.
çui-là, l’est entre le réel, l’imaginaire et leee conceptuel, tel quel…
la chouetteuse est symbole de la mort (de tas de chloses, de ça, de ceci, de cela encore et pi même du reste, d’ailllleurs!).
attributs divers de elle:
– la fugacité
– la brûlure
– l’étincellement (oh, iéréïs, t’as vu ? t’es content ?)
– le cllignotrement
– l’immatérialitéïsme
Et quoi ? Tu sais ?
Ben, iéréîs, grâce aux pouvoirs à lui donnailler, peux assener malheur où bon lui semble (mais des fois, c’est chouetteuse qui décide), pour cela, tenant en main les pattes serreuses, appellant la chouetttteuse en sifflant (de couleur verte), là ou kelle apparaitine, ou là où il décide de la poser, ben la mort, la maladie, le sort funeste sont pas bien loin… tu vas voir plus bas, j’va t’montrer et et faire voir !



















parlenthèsine: plaqueuse de verre porte visage de moi (pfff, qui donc ?) dessinée par un autrui, projetaillée dans un radoche…























































les aventures de la poésie stercoraire (art. 700)










éphéméride de l’accouplement, de l’apothéose et de la déliquescence des mots et de la crotte










la premmmmière: 5 quintidi brumaire 228










6 sextidi brumaire 228










10 decadi brumaire 228










14 quartidi brumaire 228, pluie beaucoup donc papier y est parti, crotti restaillée…










19 nonidi brumaire 228, tout est partine…………….










haaa, ha, hi, hiiii, n y a déposinné une aut’, de belllle crotte, bien grrrosse pour qu’elle rlésiste mieux o intempléries…., c’est le 22 duodi brumaire 228…










26 sextidi brumaire 228… moins de pluie, crotte plus grosse, ça tient mieux !










au frait, c’est là, sous le pont grand… quand je reviens, au soireux, j’aime bien m’y arrêter, il n’ya jamais personne et c’est un bon coincoincoin










l’ensorceleur dévie le temps…










homo-rattus, le grand et si prafait ensorceleur, qui est d’une époustouflante phosphorescence, sait influencinailler le temps grâce à son sang, iiiii.
dans son infinie bonté bleue, par sa danse flagellative (comme il excelle en ceci comme en troutes chloses, dailleur) et son subtil lèchage, qui est auto-ingestion, il nous a ainsi préparé un hiver tout doux… (en groooos de frimaire à ventôse (inclus) 228) grand pouvoir est son sien même.
comment faitttil ? ça est très-subtileuse alchrimie iridescente entre la fforme des glouttes de sang apparaissant, telles une rougeâtre constellllation reflaitant l’indifférent futur galacticre, la quantité d’énergie libérée par le rat, par le rat, par le rat, par le rat, le goût somptrueux de l’hémoglobine, les mouvements de la langue (elle est obsene) , le retour de la liqueur de vie en corps, kiai ainsi pur cercleux magique et perfection onaniesque…