célestine (article 821)

(1)
Les corps de Célestine sont interchangeables. Elle peut tout à son aise, simultanément ou pas, être d’acier, de bois et de cornes, être un corps sexuel, un corps mou et noir et sonore, ou même être proprement décorporée…

(2)
Célestine est très fragmentique, dans le temps et l’espace. Les cornes ne sont pas, cependant, Célestine… !!!

(3)
Célestine est une felatieuse ligneuse. Elle doit être praticable sexuellement, c’est très important. On peut l’appeliner : « la pompeuse », « la suceuse noire », « croque-bite », « gobe-foutre », bouffe-clito », « vulve blanche », « vagin de mastic », « bite d’acier », « poutre noire »…

(4)
Célestine oscille :
un / multiple
passe / présent / futur
être / autre
sexuelement
en étant ni l’un ni l’autre
Rappelions que Dionysos était « l’homme-femme »…

(5)
Célestine aime la compagnie de la Dagyde Ligneuse. Toutes deux dansent et baisent magnifiquement.

(6)
Célestine est un e ménade

(7)
Célestine est un nom de vache aussi bien, par exemple, que d’une ribaude dodue et perverse aux noirs cheveux odorants sur lesquels coulent des filets de sperme.

(8)
Célestine affirme, iiiiii, poings sur les hanches lourdes et largeuses, bleus tétons pointrés, vulve hurmide et vorace : « il n’y a pas de fleuve ! » C’est quand même chié, non ?

(9)
Célestine, voici à présent un fait secret et peu révélé sinon à ceux qui en valent peine, en sa tendre et tiède intimité féminine profonde, possède le troisième œil, celui de Mami Wata, séduisante et dangereuse et perverse fluidité, voyant la mort déjà-là toujours…

(10)
Pffff…

(11)
En l’honneur de Célestine, moderne et citadine thysia, j’ai aujourd’hui sadiquement et maladivement roulé avec mon vélo sur un pigeon. C’est difficile de réussir, car ces saloperies d’animaux sont vifs et prestes, prompts à l’envol, à l’inverse de mes sœurs les mouetteuses. Cela m’a grandement enjoyé de sentir ma roue lui passer sur l’arrière du corps, brisant poliment ses organes et ses os. Blanc pigeon a d’ailleurs quand-même pu s’envoler maladroitement, déjà certainement agonisant, au faîte de la douleur coupante comme lame ébréchée. Exultationnement de moi. Des passants semblaient chocailler de mon sourire mauvais et, surtout de m’avoir clairement vu viser délibérément le volatil abhorré ! Fi donc, l’important est d’avoir contenté Célestine ! Elle en conçut grande mouillerie et me permit de lui prendre fort les fesses !

(12)
Ah, Célestine, tes trous m’excitent tant…

(13)
Célestine est un art pornographique, du pornart donc, car avant toute chose, Célestine est FONCTIONNELLE !

(14)
Célestine presse ma tendre poitrine de sa grosse bite noire et volontaire, tandis que, mutine et bestiale, je donne des petits coups de langue avide sur sa vulve déjà humide… De ses mains, elle pince et énerve mes tétons enflammés de salope, alors que j’enfonce mes doigts agiles entre ses fesses, allant taquiner sa si sensible prostate. Ma seconde queue, gutturale, durcit aussitôt, sors du fond de ma bouche et vient, dépassant de mes lèvres, s’enfoncer entre ses nymphes délicieuses. Ses soupirs d’ivresse sexuelle m’excite comme chienne et me font baver de désir, bandant très raide, bite gonflée à exploser, pendant que je lui mordille savamment et goulument le clitoris, dont l’œil se plisse de perversité… Ensuite, gémissant de hâte, secouant ma brune et odorante chevelure, je lui tendrai vite ma croupe voluptueuse, qu’il me défonce puissamment le vagin, s’agrippant fort à mes hanches et me blessant, giclant dru, moi, éternelle possédée du cul.

(15)
Une masturboire, peut-elle aussi être nommé…
Célestine a procédé à sa défloraison avec son humain !

(16)
J’ai baisé Célestine ! Au jour du lundi 22 janvier 24, au 2 duodi de pluviôse 232, donc, nous avons joyeusement mais timidement forniqué, c’était notre première fois et nous nous sentions quand-même un peu gauche… Mais cela m’excitait beaucoup et j’ai tenté de me sentir aussi androgyne qu’elle, pour que ce soit encore plus troublant mmmmm. Je lui ai léché le clito et sucé la bite, puis je suis rentré en elle. Orgasmoison simultanée !

(17)
L’agalmatophilie (du grec agalma : « statue », et -philia [φιλία] : « amour ») est une paraphilie relatant une attirance sexuelle envers les statues, poupées, mannequins ou autres objets similaires figuratifs. L’attirance peut inclure le désir d’un contact sexuel avec les objets, un fantasme d’avoir des rencontres sexuelles (ou non). L’agalmatophilie peut aussi se référer au pygmalionisme (du mythe de Pygmalion) décrivant un sentiment d’amour pour un objet de sa propre création (wikipedia). Oui, oui, c’est ça ! c’est moi ! c’est nous !

(18)
je bandôse et mouillite pour Célestine

(19)
il reste un ver dans un des visages de Célestine, je l’entend ronger doucement le bois… Célestine est habitée et si nourrissante. Célestine est possédée ! Sans doute aussi est-il lui-même Célestine !

Par <a href= »//commons.wikimedia.org/wiki/User:Codex » title= »User:Codex »>Codex</a> — <span class= »int-own-work » lang= »fr »>Travail personnel</span>, CC BY-SA 4.0, Lien
Éros androgyne avec une Ménade. Musée d’Agrigente. Vers 330 av. J.-C.

Célestine, c’est à présent un secret que je vous confie, en sa tendre et tiède intimité féminine profonde, possédait le troisième œil, celui de Mami Wata, séduisante et dangereuse fluidité, voyant la mort même que vous portez, déjà…

Célestine orgasmeuse

mais oui, mais oui, n’oublions pas : les cornes ne sont pas Célestine !

Celestine danse au fond du temps

Célestine et la Dagyde ligneuse dansent ensemble

Célestine me possède