c’est donc l’histoire de Chatanka, ou Châââtaka, ou Chatanga, ou Nâââr, ou Nâââl, ou Zelenda, peut-être… c’est donc l’histoire de l’arbre de l’espoir ou de la danseuse sachant révéler vies antérieures et futures à qui la contemple, envoutriné, ou enclore du guerrier maléfique androgyne… C’est aussi l’histoire des trois boules translucides comprenant chacune un espace-temps clos sur lui-même, rien ne s’y déroulant qui n’y soit déjà.
Chatââânka est un guerrier sombre et une morte blanche
attention ! chââtanka fait la danse de la guerre puissante !