Ljoudune est sexualeuse (art. 801, 14042023)

Ljoudune est l’ensexualeuse. La giclance spermatique, vermeille, de Ljoudune sur iéréïs. Ljoudune-masque dévoile et exacerbosse l’identitanité sexuelleuse. Pfff, c’est hermaphroditement fait de bois, d’animaux divers, de quadruple vision (les oculaires protubérances), d’une bucco-vulve, d’un carmin phallus, d’une sombre pilosirté. C’est grand mélange, dis-donc ! So, das ist ein masque de pouvoir très-fort ! Son effet m’a, moi confesse oui, emmenaillé très loin, firnalement… Encore Ljoudune, qui est donc tout ? Ca demande : “ se peutre-t-l qu’il existencille forme de mémoire de la temporelisante substance ?” Elle une autreuse qurestion, qui est bien plus mysterineuse : « charge quelle treutons peuvent levailler, jouir moi ? » Ljoudune donne et confère force de s’abreuviller à la pure salope de naissance même de la source trouble libidineuse. Gicle et gonfle, ça… Alors, c’est troublant, les anciennes recettes alchirmiques me sont donc fort fécondineuses ? Quoi ? Quoi ? vouloir que ma vie soit un orgasme permanent… Maintenant, description de moi et de ce que je preux fairiner, hop : je possède, tel foutue pieuvre, longs et nombreux appendices sexuels, outre ma biette, cela va de soi, bleus et visqueux et extensibles sur une quinzaine de mètres, capables d’aller très intimement toucher quiconque s’offrille à moa ! Ils peuvent aller fouailler bouche, tripotiner clitoris, jouer avec anus ou caresser hanches, tout est possible, ils s’insèrent et lacèrent où bon semble à moa… ils peuvent soit sortir du haut de mon crâne, s’entrouvrant alors comme vulve humide, soit être extensionnement dardant et s’étirant de mes yeux, doigts, tétons ou langue… une fois la cible atteiente, il peuvent conserver leur forme ophidoïne (et liquiditive, ha, ha, ha) soit prendre autonomie et se coller comme racine apparente du lierre sur et SOUS la peau ! imagine, leurs attouchements peuvent être faits à même l’organe ! ach, que de sensations démultiplionnées ! Je peux en outre et de plus, par mes lèvres comme crachat de postillons (c’est le même bruit), projeter un nuage gazeux de sexoline, venant envellopiner ma proie et brouleverser son enérgie sexuelleuse. Cela occasionne forts troubles invisible et s’avèreuse très rigolo à observer ! ha, ha, ha… La personne visée est alors cernée par une infinité de points bleus crépitants et voletants en tous sens autours d’elle, comme atomes bavant et hurlant de désir ! C’est si beau et jouissif ! bravo moi ! la bête sexuelle, le magicien du cul ! Ainsi, voici Ljoudune-iéréïs-siegline asperginées de liqueur spermatique, si beaux, si purs… De son ventre vulvaire, pouvaient à tout instant giclationner les filaments tentaculaires sexuels. elles sont représentées couvertes de la sécrétion sexualisante, prenant peu à peu possession de la peau de leur proie, jusqu’à en faire pu objet orgasmatique. (nos lectures changent, un peu de psychologie, j’en ai froid dans le dos ety l’anus !)

Des courts et longs chants d’amour à Ljoudune…