siegline est fragment mais la tasse de café est tout…

la contagiosité de l’essence tassique
sa répandiation quasi ontrologique et comme flaque d’huilinne
la fictivité ou la réalitré de siegline
je me détlache de moi-même (ou ça-même, ou elle-même ou eux-même), me regarde partirinner et panique violemment de rester seul
les bracelets de celle que j’aurais pu être tintinnabulent contre la table
une fois encore je me noie voluptrueusement et obsessionnellement dans ces histroires de continuité et discontinuité…