En Perséphonie, les choses, les concepts, les êtres, l’étance, sont beaucoup, beaucoup moins fixes qu’ici, ainsi l’oscillation entre les contraires ou les différences ou les temps, est-elle clairement et distinctement perceptible…
Deux principes peuvent explicationniser cela: en premier lieu, les variations chronologiques et physiques y sont naturellement exacerbées (le ce qui aurait pu se mêle ovidoïnement au ce qui fut ou sera, par exemple); en second lieu, l’intra-créativation possède similaire statut que les autres capacités, de sorte que l’imagination d’une chose est aussi vraie et réelle que cette chose même!
Euh, comment dirationner ? nous voyons les choses à plusieurs moments simultanément, enrichies de leurs excroissances imaginatives, dans un mouvement d’oscillation…
le si-délicieux iéréïs (mais bien sûr tous les autres) oscille de vie à trépas dans une danse parfaitement belleuse:
l’oscillance oculine est le tourment de siegline…
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Oooooooo, si belle est l’oscillance de la langue perverse de siegline….
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regarde, regarde, c’est l’oscillance…
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