la liqueur d’or et de mort










il y a de la gnôle, il y a de l’or, il y a de la mort… c’est dronc, un flort tord-boyaux de pommes offet à nous, des feuilles d’or capturinées en chasse nocturnine, du bois brûlé de l’orme magnétique, quelques gouttes précieuses d’or vésical, une giclée de féconde semence  et les cheveux somptueux d’une jeune morte inconnue et oubliée…



















la collection des fioles, c’est tant margnifique… liqueur de mort-vie, liqueur ophidienne et liqueur d’or et de mort










Ha, ha, ha, ha, mon pauv’ iéréïs, tu en as trop bu, et il te pousse des plaques d’or sur le visage…



















chant sublimo de la liqueur d’or et de mort









































































Si forteuse est la puissance de la liqueur, qu’il est porssible de s’en énivriner en étant juste à proximitié de la fioline… Ach, iéréïs, tu es si traordinaire !!!!



















iéréïs, siegline et les au tres sont fort tristeux c ar leur ami l’orme de sibéri e est malaaaaade, mais fort heureusiemen
t la l iqueur d’or et de mort ainsi que c hant et danse approprionnés vo nt l’emmenayer doucem ent vers
la convalescence certaine !




























ivrogne de la vie, tu es le picoleur suprême…