La réification du regard de iéréïs koruskan

Ha, ha, ha, iéréïs, tu es pythagoricien, donc, et regardote, tu fais une belle critation :

« Une première doctrine de la Grèce antique est celle du « rayon visuel ». Elle postule que le « feu visuel » jaillit de l’œil sous l’effet de la lumière et va au contact des choses pour en éprouver la forme, la couleur ou d’autres propriétés. »

 
 

mais, que

arrive til à toy ? une au

tre sytation ? oui, ou

i, oui,,,,, bon alors

essscoutons toi:

« Beaucoup d’hommes se sont demandés ce qu’il se passait lorsque l’on voit un objet. Voici 4 théories proposées il y a très longtemps :

1) Théorie du « rayon visuel » (Pythagore : philosophe et mathématicien grec ; 570-480)
L’œil envoie continuellement des « rayons visuels ». C’est pourquoi certains yeux brillent dans l’obscurité.
Les rayons visuels tombent sur les objets et les rendent visibles comme s’ils « tâtaient » les objets.
Les objets lumineux retiennent particulièrement bien les rayons visuels, c’est pourquoi ils sont tant visibles.

2) Théorie des porteurs (Lucrèce : poète romain ; 98-55 av JC et Epicure : philosophe grec ; 300 av JC)
La réplique fidèle d’un objet , appelé simulacre, constitué d’atomes émis par sa surface, se détache et se propage dans l’espace jusqu’à l’observateur.
Au cours de leur trajet les simulacres sont plus ou moins effacés : c’est pourquoi les objets éloignés ne sont pas vus distinctement. Que se passe-t-il si les simulacres rencontrent un obstacle au cours de leur propagation ? Leur comportement dépend de la nature de l’obstacle : ils peuvent le traverser, s’y abîmer ou en être repoussé.

3) Théorie d’Al-Haytham (physicien arabe; 965-1039)
Il envisage pour chaque objet la propagation de formes en tant qu’images aériennes. Contrairement aux simulacres composés d’atomes et fidèles à l’objet qui les émet, les images d’Al-Haytham sont issues des différentes parties de la source, dont chaque point émet dans toutes les directions de l’espace.
Al-Haytham souligne que la lumière a une action sur l’œil en donnant l’exemple de la persistance lumineuse qui apparaît après avoir regardé une zone très claire et avoir ensuite détourné son regard vers une zone plus obscure. Il en conclut que la lumière se rend des objets à l’œil.

4) Théorie de la propagation (Aristote : philosophe grec ; 384-322 av JC)
La vision se produit lorsque les objets colorés agissent sur l’œil par l’intermédiaire d’un milieu, qui sépare l’œil et l’objet. Ce milieu est appelé diaphane par Aristote. Un diaphane n’est pas visible par soi à la différence d’un objet. Un diaphane a deux états possibles : il peut être diaphane en puissance ou en acte. Là où le diaphane n’est qu’en puissance se trouve l’obscurité.
Le diaphane passe à l’acte sous l’action de la lumière, puisque la couleur n’est pas visible dans l’obscurité.
Le diaphane est ainsi le véhicule de la couleur : il est le milieu qui rend les couleurs visibles. Lorsque le diaphane passe à l’acte sous l’action de la lumière, la couleur actualise la puissance de l’œil. L’objet visible transmet à l’œil sa forme (et non sa matière) par l’intermédiaire du diaphane. « 

du texte sur not’ subjet…

Ohhh, la dérivation d’un regard usé…

mais, t’es malade pov’ narvalo, encorrre une empruntitanation ?

 

ya du regard uséïfié, qui dérivationne en eaux paisiblinnes…

 

Des regards poussent paisiblement et tranquinalement sur leur arbre; ils ne sont pas, sembli-t-il, encore mûrs…