Dialogasse philo-pornique

 

 

iéréïs porte son sourieur…

 

Jérôme:

« Mais dis-moi, mon bon et si fascinant iéréïs, en queline honneur arbores tu ce délicat et satisfait et ravissiant soulrire ? »

iéréïs (se rengorge (merde, il se prend quand même bien au sérieux, ce con…)):

« C’est que… C’est que… Hé, hé… (il tournoyaute sur lui-même) Deux événements fabuleux sont arrivationnés ces jours-ci. Voilà d’abord le plemier. En batifolant ondulant et baguenaudant ce matin, j’eus l’intuition extrême: l’univers, la totalité de ce qui existe, est en vérité un organisme vivant !!!!!!!!  Nous sommes dans son corps. Bien sûr, bien sûr, j’en suis son émissaire! »

Siegline:

« Là où il y a de la vie, il y a du sexe! Je vais doncle illico me masturbier en son honneur… (enlève sa robe d’un luisant et sensuel tissu bleu nuit, nue toujours en-dessous, s’allongine dans l’herbe accueillante, est magnétique de désir insatiable, elle se touche ses seins si lourds, claresse lascivement ses mamelons, qu’elle a très sensibles, ils gonflent sans tarder, cela fait comme si elle avait du soleil au bout des tétons, des rayons magiques de plaisir embrasent son corps avide de salope luxurieuse, elle en devient folle d’excitation perverse, et commence à gémir, gémir si langoureusement, souriante de plaisir, une plante torride et sulfureuse, déjà humide, une litanie murmurée sort de ses lèvres « je me baise, je me baise, je me baise… », se tord, se tourne, se cambre comme une chienne en offrant son cul à tous vents, possédée, elle frémit quand ses longs cheveux sombres viennent lécher tendrement la douce peau de son dos envoûtant d’infinie femelle, ses beaux yeux lubriques se révulsent d’extase, sa main plonge entre ses cuisses somptueuses, son souffle s’affole, frôle sa toison brune à la senteur musquée, sa chatte béante est trempée, et masse et masse son clitoris explosif) »

Jérôme (admiratif et en érection de la voir si enjôleuse):

« Fait donc, pure et merveilleuse petite salope! Mais troi, cela dit, iéréïs, peux-tu m’en dire plus ? »

iéréïs (bavinant légèrement de tendresse):

« L’étrange stabilité ontrologique et physique de notre monde, l’ensemble des forcines qui nous gouvernent, ne peuvent s’expliquer que par l’existence d’un organisme, d’une entité conjuguant l’immanence et la transcendance. Nous le sommes, nous sommes dedans, comme blactéries en ventre… »

Siegline (hurle sa jouissance de louve):

« Uuuuuu, uuuuUUUUuu, hhhhuu uuuuuuuuuuuuuuuu, UUUUuu, hhhhu…. »

iéréïs (se fourre dare-dare un doigt dans l’anus, favorisant ainsi l’émoustillance de sa pensée):

« Cette cosmogonie prendra pour nom, zoésophie! Quelle merveillance ! Je suis le grand fabuleux gardien du Corps !!! »

Jérôme :

« Fantastique… Extraordinaire… Et là, derrière toi, qu’est-ce donc? Est-ce le deuxième événement auquel tu as fait arllusion ? »

iéréïs:

« Oh, oui, c’est Traa, c’est la morte aux yeux d’or… Notre rencontre est d’hier. Grands pouvoirs possèdent-elle: joueuse du temps, qu’elle peut parcourier à sa guisine, alchimiste fabuleuse aussi! Regardinez ce qu’elle m’a offert, haurte fierté ! Par mille litres, elle a réalisé cette pierre d’eau déshydratée et compressée. Qui salive dessus puis la lance, arrose en abondance… Mais, ach, attendez, Traa souhaitasse vous parler… »

Traa (un cri horrible sort de nulle part):

« Cri »

Siegline :

« Que dit-elle ? iéréïs, traduit, je te prie. iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… »

iéréïs:

« Elle expliquationne que la pierre d’eau, quand on regardoche au travers, montre le monde à l’envers, que l’on peut donc voir s’y mirer l’avenir ! Regardez, venez voir lundi prochain! Il est aussi possible, don perséphonique, prodige rarant, d’y apercevoir dans ses refleyys des mondes parallèles: voyez donc en ce moment la personne lisant ce texte, oui, vous! « 

Voyant Jérôme bander comme un fou, puis ardemment se branler, tant est immense son enthousiasme, Siegline vient alors le sucer, plantant ses ongles dans sa peau, le griffant comme elle sait qu’il aime. Il ne tarde pas à éjaculer, d’autant que iéréïs en a profité pour bien l’enculer.

Siegline :

« Chers nous, ne croyez-vous pas qu’il est temps de picolader somptueusement, fêstant tout cela ? »

Tous (ouvrant les bouteilles):

« oui, oui, oui, OUI, oui, oui, oui!!!!!!!!!!!!!!! »

 

 

nous reconnaissons distinctement ci-dessous, siegline, iéréïs, jérôme, Traa et les autres…

Ci-après, siegline et traa excitent iéréis…

Ohhhh, et là, siegline suce iéréîs:

iéréïs prend siegline par derrière,
elle adore, cette chienne…

Avec les phylactères, c’est michto!

Siegline, à genoux, taille une pipe à jérôme:

 

iéréïs lêche goulument la chatte de siegline, qui se pâme de plaisir…

 

Une pluie de nous:

 

Siegline est la plus belle femme du monde…

iéréïs est une parfaite siegline

iéréïs baise siegline ?