Où l’on vit iéréïs koruskan prendre enseignement de faits réels et avérés, comprendre la volonté de puissance en même temps que quelques notions d’hygiène…

Il est malaisé, en habitat perséphonique, de porter trop longtemps en hiver une culotte de fourrure, sous peine d’y trouver nid de petites araignées, charmantes cela dit mais origine de testiculaires démangeaisons…

Si l’on pend sur un arbre-aux-crâne une tête de mouton, fut-elle cuite, on y retrouve au printemps une délicieuse nichée de grosse mouches noires…

Il est normal que de la sanie coule sur son épaule quand une tête de poule est mise à pourrir au-dessus de soi.

Branche d’intérieur humide de l’automne avec vieille fourrure sur lichen offre parfait habitacle à de merveilleux petits vers blanchâtres.

Ô iéréîs koruskan, tu es si subtilement ignoble…!