Un aréopage de vers à plumes, féminine et suave présence, hiberne cet hiver dans les branches couvrant la couche de iéréïs koruskan, dont le sommeil est ainsi empreint d’aerienneté en même temps qu’il reste dissimulé aux ouragans des songes mauvais…

Le ver à plumes, dont le nom véritable est « aérotte », a pour fonction de forer et digérer sans cesse l’éther afin que celui-ci ne se solidifie pas et qu’ainsi mouvement et temps restent possible…