853 est le numéro de cet article intrituliné : la velue boule vulvique fumeuse

Nananana, ha !
Nanananananan, ha !
Nanananan, ha !
c’est si envoutationnant, cette rondeur noire hypnotrisante, si plodigieusement sensuel et pervers et voluptrueux… ta vulve vulvaire velue fumineuse orgasmisante, les volutes, enfin les volutes (oh ! si longtemps suis-je en attente…), parée de nuit inquiétante et attirante, parée de pourpre sanguinolence, parée de subtile légèreté mortelle, elle danse et volte et troune,
ça peut moi alors chantrer cela en susurrant languissament très : je vins vers toi ; s’ouvrirent et s’épanouirent tes cuisseuses si lascivement, de grises et tortueuses et rêveuses coulées fumiques s’échapplaient de ton fond vaginal attentif et sanglant, promesse de tendre chaleur gémissante, j’enfouis vite ma gueule sale en ton sein, que tes fluides rougeâtres viennent couvrir mon derme de ses traces malodorantes et gluantes, fouuuuaille ma langue le rictus pervers de ton gros clitoris gonflé et haletant, ta vulve est en lave, incandescente et écarlate écartellée, écartilleuse, tu es le puit du monde, frabuleux pertuis au bout duquuuuuel les plis du temps s’enroulent et se déroulent, quelle merveille, quelle pharamineuse et troublillonante beauté ! moi aimme ! Gicle alors !

jouissance de la boule

recherche puis contemplation de la boule vulvique fumeuse

l’outre monde de la boule vulvique fumeuse velue.

ach, c’est 852 ! Aux morts amis… Aux péris enfants… Aux effluves nauséabondes… A Antonin et Génica…

Aux effluves de mort,

Aux effluves de mort, froid

Aux effluves de mort, blesse.

Aux effluves de mort, joue

Aux effluves de mort, déchiquete

Aux effluves de mort, danse

Aux effluves de mort, perce les yeux

Aux effluves de mort, as-tu jamais humé le parfum cruel de la décomposition d’un jeune corps ?

Aux effluves de mort, racle les chairs

Aux effluves de mort, suce le pus

Aux effluves de mort, je leche goulûment tes aisselles odorantes et sales, où une bleue toison repoussante vient griffer ma peau

Aux effluves de mort, compose le 07 83 71 27 01

Aux effluves de mort, mélange bien les eaux grises et vaseuses du tourment

Aux effluves de mort, ha, ha, mes meilleurs amis sont partis

Aux effluves de mort, pose tes mains sur le verre, fixe tes yeux vers la lumière de nuit, puis reste songeur

Aux effluves de mort, tous ces visages dans ma chambre, me hantent

Aux effluves de mort, il y a des enfants décédés, aussi

Alors certainement, elle et moi, ses cauchemards, mes hantises, sommes véritablement EXTRALUCIDES, amants d’ailleurs…


Tu te souviendras avec milles interrogations et un peu de gène aussi, que ce texte fut écrit à très peu de jours précédant le décès d’un mien neveu âgé de dix ans.


Génica Athanasiu est décédée le 12 juillet 1966, jour de mon premier anniversaire. Se peut-il qu’une partielle métempsychose ait eu lieu ? Et que l’âme d’Antonin s’y soit également mêlée ? Tant de choses s’expliqueraient, non ?

au théatre des proies, le chasseur

850 les proies du chasseur

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elles sont deux

ce sont des chimères hypnagogiques


il si si si MERVEILLEUX ! ! ! !



la simple diurne chasse du chasseur

la vive diurne chasse du chasseur

la vive nocturne chasse du chasseur

danse cynégétique du chasseur trouvant sa proie

oh quelle merveille ! les danses du chasseur, devant ses proies !

851 article : l’auto-maïeutitienne








il est si heureuse






l’enfant donne le sein à son genitarium

ça m’accouche !



la trinité dégueulasse, le suprême mélange paradoxal et explosif !




argnnn
whissssss

grrrr

comme un ouroboros natal et parturitionnal, comme cercle vivant parfait un


enfin de moi, naquit moi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!




je suis le fruit pervers de ma puissante masturbation, rendue gravide de mon propre sperme fertileux



goute et engendre, branle et accouche






subodoration avérée : c’est réel et ainsi sans nul droute possible, ma spontanéité générationeuse ! VRAI ! BEAU ! MOI ! PARFAIT ! APOCALYPSE !








9 nonidi de thermidor 223 : je nais enfin !



MOI !
MOI !



MOI !






indéniablement, le geste est vertigineuse et m’emplit de fiertinité en même temps que d’ivresse cérébrale et sexuale



ach ! mince ! comme j’aime quand tout EXPLOSE ainsi en moi !




MOI !
MOI ! MOI ! MOI ! MOI ! MOI !
MOI !









MOI !





le chasseur et son arrache-nerf (article 849)

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tu es si merveilleux , toi le chasseur !

Oh, mon beau chasseur galactique !

comme est dansant avec extase, le chasseur fabuleux….

danse de l’habit cosmique du chasseur

danse hubristique cosmique

mon chronosaure (article 847)

ahhhh, hummmm, tchiiii… alors, mon chronosaure ?
le chronosaure voici. cherche sa proie. il est ce qui dévore le temps de chacun. très parallèle au singe sur l’épaule. chacun son chronosaure, jedem das seine !!! Oui ! ha, ha, brrr, glll, cela forme ensuite, toi et lui, une entité symbiotique, dès que tu es existant, il est là et te bouffe. crève doucement, toi.


A ce jour, 15 quintidi de Floréal 233, ne sais qu’en faire…
Peut :
* être offert au brocanteur chez qui j’ai acquisitionner leu coquillage ;
* à quelqu’un d’autre ? ;
* déprosé aux hasards dehors, le laissant à son destin ? ;
* être dorné ainsi que prévu à l’origine à mon gendreux ;
* finir rien rangé avec moi, prenant poussière et me contemplant avidement et peut-être avec excitation sexuelle (a-t-il même envie de me pincer mes délicats et sensibles tétons ?) ;
* être vendutionné, mais en ce cas ki ken voudraitil de il ? Pfff…

le fabuleux concert du chronosaure (nouveau moi est si beau !)

quelque chose, et le chronosaure qui tourne

c’est donc la danse et le chant du chronosaure

ha, ha, hi, hi, voirli mar belleuseuse arnnonce :

article 846 : un sexuyer est un arbre porno-ligneux !

Il était une fois, un arbre-de-sexe, un sexuyer donc, dont les fruits étaient des êtres vivants. Son nom pouvait être également, cela dépendait des contrées de sa situation, arbre poly-copulaire ou encore, totem porno-ligneux… Qui le regarde, puisque son pouvoir de fascination n’a d’égal, qui le sent, car sa puissance olfactive est incommensurable, se trouve aussitôt et sans tarder, proprement hypnotisationné ! Il provoque alors une augmentation intense de l’énergie phantasmoïde, électrisant corps et nerfs et sens et imaginaire ! Oui, oui, oui…
Ses fruits, sur l’exemplaire de notre connaissance, sont les suivants :

La bite biteuse fièreuse bandeuse ithyphaliqueuse hargneuse puissanteuse voluptueuse, projettise son foutre avec une pression de 11 bars à une hauteur de 15 mètres. Gniarf, elle est pure et grosse volonté de pénétration !

La vulve à la chair blanchâtreuse et douceureuse, d’écarlate embellée, nommée également et aussi, vulvosse, estions un insecte vulvaire et vulvique, se nourrissant de phrallus, puissamment toxique, dont le coït entraîne la mort par dessèchement. Elle est à la fois magnifiquement odorante et appétissante en même temps que puante et dégueulasse.

La pieuvreuse, bonheur et malédiction, enserre son prétendant de ses mortelles tentacules. Elle aime et adore les faire pénétrer dans ta bouche, ton anus vibrant, ton vagin criant, tandis qu’elle te déchire les tétons, ha, ha, ça te rend folle d’excitation (salope).

L’androgyne, est-ce moi ? est-ce toi ? baiseras-tu ? seras-tu baisé ? seras-tu baisée ? suce et encule, jouissance absolue ultime magnifique foutreuse et foutrale…

Le couple, comme monade double close sur elle-même, exsangue et plein de mollesse, capable d’une bouillavance de 72 heures de suite !

La salope, au cul rouge carmin offert, diffuse une senteur vaginale étourdissanteuse, pouvant être sentie à vingt kilomètres aux alentours… Elle aime se cambrer en attente d’être remplie, défoncée, mais peut-être n’est-elle que fantasme de toi, spéculaire présence, alors infiniment dérangeante ?







 

intro
androgyne
couple
la bite
la pieuvre
la salope
la vulve

contemplation de l’arbre copulaire

alors, si proche est donc un autre monde….

du sexuyer, la danse

8 et 4 et 5 a r t i c l e : alors c’est, pneumaxylote ou xylopsychée ou Holzgeist !

Cet esprit du bois là est fondramentalement cruello, si, si… Il s’argit, pour mon pllllus grand blonheur sexuel, d’une fermelle entité, fonctionnellement baisable grâce à son orifice vagino-ligneux… Son ire ne se laisse armadouer que par robuste baisance et ferme apport et offrandite spermique.

danse incantatoire du holzgeist

porno holzgeist 2

regarde-moi séduire l’esprit du bois !