joies de la létographie

le létoscope est la troublante lanterne de la mort, prodiguant d’inconnues angoisses livides, chacun de ses regards projetant des gerbes d’un sang moite et noirâtre. qu’il doit être profondément délicieux, par fois, d’agir comme bourreau sadique…
le létorama est la mise en scène de la vision de la mort
le létographe est le créateur du mouvement même de la mort, ayant soin, ici comme ailleurs, d’inverser strictement le point de vue !




« une essence (eidos) est pour les grecs un mouvement, la dynamique d’une entrée en présence ou d’un apparaître. une essence est tout sauf une nature ou une instance fixe » (là c’est une citation de catherine malabou) elle est donc aussi à l’inverse passage en absence ou disparaître !!!! (là c’est nous…)