iéréïs, alias « le très-très-fabuleux-dandy-ultime-de-l’infini », je t’adorine franchement et te vénerinne même, tu portes, en ces temps de froid vernant, un si bleau bracelet de cheveux morts (ce sont les nôtres, me dis-tu en me le sussurant vicieusement en conduit d’oreille, ha, ha, ha ! vil chenapan facétieux), qui tiendra bien au tendre chaud ton délicat poignet !
je respecte, infiniment et profondément et sentimentalement et prosternativement, ton ingéniosité frabuleuse et ton goût si assuré… tu ess l’incarnination de ce qui se fait de plus purement esthétiquant et superbationnant. quel homme extraordinaire tu fais ! merci d’exisssster, tu es magnifique !
magnifique !
magnifique ! magnifique ! magnifique ! magnifique ! magnifique ! magnifique ! magnifique !
magnifique !