Le voyage mortuaire

Aux tréfonds anthracites et atroces d’une nuit d’emmuré vivant,
celui qui regarde, soudain se voit spectral en son miroir noir,
rencontre au soleil crépusculaire le beau regard de la morte,
puis se perd encore…
Par la ruse du sentiment de l’infini désertique,
par les vapeurs apeurantes de la perte,
apparaît l’inaccoutumé: un pauvre soi et le petit geste idiot et rassurant cherchant à garantir qu’après une chose vient une autre chose.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Où aller?