thréorie de la fragmentique !

estampillage 758

il y a ou pas les tournances fragmentique de kleros dans sa quadri-partité, puis de la mode, de la beauté pure…

Où est m on vagin écartelé et peut-être légèrement bleuté, un peu translucide ? Oùr est ma hure afframée ? Où sont mes vérins hydrauliques et fascinants ? Où slont mes serres voraces ? Où slont enkore mes gros seins alléchants si sensibles ? Où est mon transistor puissant ? Et mes pétales, ha, ha, si délicats, où quelques gouttes de pluie subsistent, tremblantes au vent sucré ? Et ma grosse bite inépuisable, d’acier et de ciment ? Dis-moi…

un fragment de l’étance est rotatif-spcéculaire

ça peut se nommer des rôtôsses, si qu’on veut, par example… un rôtôsse est un objet, donk, fragmentique rotatifiant.

mon métier est d’actionner périodiquement le rotosse afin, d’une part, de diffuser le liant ontologique permetttant à l’étance de subsister sans discontinuité (elle ne fond jamais) et, d’une seconde part, de mélanger cette étance même pour que le multiple en lui-mêlme perdure (le changement, le temps même, est toujours possible même). ce n’est pas même une sinécure ! et quand je pensîte que l’équilibre du monde repose sur mes heureusement incommensurablement robustes épaulottes ! vous n’avez pas intérêt à ce que moi se détourne ou même oubliationne ! on verra même moi (enfin nous ou elles ou le reste), dans son costrume de rôtôsseur…

ha, ha, ou même, c’est aut’ chose ‘core, comme un ptit pertuis ontologique dans l’étance, une ouverture fragmentique !!!!!!

mon couteau fragmentique, à la lame si acéréïnnée, découpe des tranches d’étance à peu près spéculairisantes

se glissera même un e mandorle, en fait, même (même) d’autres que une ! je suis le mandorlier …

Ais-je ou aurais-je seulement et enfin un sens nouveau ou enfui, pour sentir subtrilement glisser sur moi, telllle ombre lumineuse d’un fugace rapace, ce que reflète le spéculaire rotatifiant ? Ce moment où apparaît mon corps noir dans le fragment de temps délimité par le mlouvement du miroir, alors que ma vue est obturée-paupière… Un frisson jouisseur peut-être, sexueil et morteil concomitamment, tressaillement brûlant, ma peau marquant ? Une sombrebifide langueperverse et puanteléchante mon sang ensoleillépourri ?