…mystères du signe…










quand il se pose, alors est dit: « je suis tracé »…
merde, doù ki vien cte-là, on diraitinne kil a toujours été là, planant et attendinant, ptet’ ça fait peur un peu, ou pas…










le signe est là, déjà, attentif à sa proa…










bon, dans cette attente, veuillez, bordel demerde, agréer mes discontinuités finales: moi s’est fait tout bô pour cela, la parure lobulaire est offrande joyeuse à la venue du signe sur moi, le signage, dicave:

Boule est concentrateur magnétique, accentuant ma capacité à entrer incroyablement dans les esprits (le bruit que cela produit ressemble à ceci: zzziummmmm);
Doigt de poule donne à qui porte, tendresse bleutée;
Grosse mouche confère force et courage, cela de soi vra;
Papier est mirifique étendard (il, en l’occurrence, souhaitinne la commémoration (émortion et bonheur scintillant) de naissance d’Agathe…);
Peau de serpent insinue et distille fierté douce et légèrement chaude en moi (utilise les slimilaires conduits que la Rosaline, d’ailleurs, ce quri est appréciable);
Renard m’aide, c’est pas facile, elles sont fort rareuses, à chasser les poules métalliques aux yeux de feu…
Panthère, boa et chat-mort, on en a déjà parlitionné, donc merde…



















signe possède une présence symbolaireuse propre et existentiable et magnétrique.
il est guerrier immensse et prodigieux

et fait dégouliner sur moi ou nous toutes ses propriétés fabuleusines…
il waffen-schirmer, alors, oui, ha, ha, ha, moi pareil !!!



je suis le iéréïs et le pharmakos
il est totipotent






tel araignée qui pense avec sa toile, il avec moi
tel lichen, nous alors deux organismes symbiolisés
le signe donne grand pouvoir à moi, ou à nous d’ailleurs, de comprendre et surtout de pouvoir manipulationner, ce qu’est la vieuse: c’est la substance, ou l’entité, de ce qui est vivant, ce n’est pas, bien sûr, l’étance. elle est une, universelle et trans-individuelle. moi peut donc à présent la percevoir, comme onde ou comme par exemple sons ouïent par oreilles… moi peut donc littéralement entrer dans l’esprit d’autrui (humain, animal ou plante ou autre). ça est expérience fascinante !










vois le signe se poser et doucement chlanter…










je suis signé je suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signéje suis signé










le sangleur est celui qui pratique l’art de la sanglure, cutanéïque dessin au sang…










narrance du rencontrement



















quelques journons plus tardi, vlatipa que nlous l’arvions, Le siGne, revu tatouationné même, proche de la grasse aisselle d’urne femmme passant, intrigationné très, nous fîmes recherchiottes sur le rézeau, qui nous fourni solution, ahhhh, bah voilà, autre interprééétatION, mais seeeemBBBlablE énergiE (wikipedia, bien sûr https://fr.wikipedia.org/wiki/Indalo) :

Indalo

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L’indalo est une figure préhistorique qui se trouve dans l’Abri des Ruches (Abrigo de las Colmenas) et dans la grotte de los Letreros[Quoi ?], dans la municipalité de Vélez-Blanco (province d’AlmeríaEspagne). Il s’agit d’une peinture rupestre de la fin du Néolithique ou Âge du cuivre, qui représente une figure humaine avec les bras étendus et un arc en ciel sur ses mains.L’indalo, messager des dieux

Durant des siècles, avant qu’il ne soit catalogué, ce symbole était vu comme un symbole de chance et considéré comme un totem dans le nord et l’est de la province d’Almería, et particulièrement à Mojácar, où il était peint en ocre sur les maisons pour les protéger des orages et du mauvais œil. On l’appelait le muñequillo mojaquero.

Au milieu du xxe siècle, il fut pris comme symbole par un mouvement intellectuel et pictural mené par Jésus de Perceval, un disciple un peu anarchiste de la vision méditerranéenne du philosophe Eugeni d’Ors. Pour sa part, Perceval revendiquait la position de la vie, la vision cosmique qui constitue l’essentiel des cultures successives d’Almería depuis l’Antiquité, dans une renaissance constante du classicisme considéré comme un mouvement éternel et sans cesse renouvelé.Sculpture de l’indalo sur la Plaza de los Burros à Almeria : ces sculptures marquent l’emplacement des anciennes portes de la ville

Le symbolisme de l’indalo fut tellement fort pour ces artistes et ces intellectuels qu’ils nommèrent leur groupe le monument indaliano. Ils voyaient dans leur symbole un homme soutenant un arc en ciel qui symbolisait un accord entre les hommes et les dieux pour éviter de nouveaux déluges. Plus prosaïquement, l’étude du dessin ne montre qu’une personne tendant son arc pointé vers l’oiseau qui le survole. Cependant, le mot indalo pourrait trouver son étymologie dans l’ibérique indal eccius (« messager des dieux »).

Depuis de nombreuses années, l’indalo est le symbole de la ville d’Almería, de sa province et de ses habitants.

Au cinéma[modifier | modifier le code]

Dans le film Conan le Barbare, ce symbole est dessiné sur Conan pour le guérir1. La scène du film est tournée à Almería.



















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