entité que je suis, est où doit être!










Toi, iéréïs, toi aussi, Jérômiesque, et toi, Ghânnn, toi aussi, Siegline-la-sauvage, et, oui, oui, oui, tout les autres, je sais ENFIN pourquoi vous êtes venutionnés à Nantes,
magnétiquement,
magnétiquement,
magnétiquement,
magnétiquement,
magnétiquement,
magnétiquement,
maaaaaaaaaaaaagnétiiiiiiiiiiiquemmmmmmmmmmmmmmmmmmment,
mmmmmmmmmmagnééééééétiquementtttttttttttttttt,
physiquement,
ontologiquement,
historiquement,
dialectiment (hé, hé, hé…),
sympathiquement,
bouleversement,
secrètement,
analement,
sexuellement,
vaginalement,
dramatiquement,
humoristiquement,
subtilement,
totalitairement,
librement,
amoureusement,
luxueusement,
débilement,


: car, oui, oiuuu, iou, oui, ouiii, uuuoi, indéniablement et scientifiquement et sans nul doute et ceertainement et affirmatiiivement et saaaaaaaans erreur possible, c’est bien le centre central du monde modal!!!!!!!

Là donc:

47°13’N et 1°32W

l’entité n’en sût être mieux sise…

se peut-il, se peut-il putain de merdasse, se peut-il, qu’une certaine force y fusse ?








































porno-danse au vagin tellurique from iéréïs koruskan on Vimeo.










peintre d’ombre, je suis le



















peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le

peintre
d’ombre
je
suis
le










alors, il y a les ombres peintes de la nuit, mortes et froides et immobiles, qui le jour venu sont sépulcrâles et anachroniques, puis celles du jour, où les ombres, fugaces, échappent sans cesse à leurs dessins, pour n’y revenir, comme pissseuses honteuses et condamnées, que le lendemain, toujours…